lundi 19 avril 2010

Correction "Journal du 18 avril"

- Le premier titre concerne le trafic aérien en Europe. On nous dit que c'est toujours "la pagaille" dans le ciel européen et on nous dit également que la compagnie aérienne Air France a commencé à faire des tests pour tester "la dangerosité" du nuage. On parle également des riverains de Roissy qui, eux, sont ravis de la situation !
Le deuxième titre est une information sportive qui concerne la victoire de l'équipe de football de la ville de Marseille. Le nom de ce club de foot est l'OM (l'Olympique de Marseille).
Le troisème titre concerne le salon des voitures de luxe qui a lieu à Monaco.
- Le premier aéroport que l'on voit dans ce journal est l'aéroport de Roissy.
- Il est desert parce que le ciel français et européen est paralysé depuis quatre jours. Les avions ne circulent plus à cause de l'éruption d'un volcan en Islande.
- La journaliste utilise l'expression "grouille de monde" pour dire qu'il y a beaucoup de monde d'habitude.
- Non, tous les aéroports français ne sont pas fermés. Les aéroports du sud de la France (au sud d'une ligne Bordeaux-Marseille) sont ouverts. A Bordeaux, Biarritz, Pau, Tarbes, Toulouse, Montpellier, Nice, et en Corse (à Bastia et à Ajaccio).
- On parle de l'aéroport de Toulouse comme d'"une terre d'accueil improvisée" pour les voyageurs. L'autre nom de Toulouse est "la ville rose".
- Les passagers interrogés viennent des Antilles et vont aller à Paris en bus.
- Les aéroports sont ouverts dans les villes suivantes : en Espagne, en Croatie, en Autriche, en Pologne, en Allemagne et en Bulgarie.
- Les vols d'essai servent à évaluer la dangerosité des poussières volcaniques pour les avions.
- Les pilotes accusent les gourvenements européens de surestimer la dangerosité des nuages de cendres. Ils pensent que le principe de précaution est exagéré.
- Un retour à la normale n'est "en aucun cas" à prévoir.
- Les 150000 français bloqués à l'étranger n'ont, par exemple, pas accès à leurs médicaments. Certains visas expirent et cette situation entraîne des frais supplémentaires pour se loger et se nourrir.
- Deux millions et demi de personnes sont ravies de cette situation. Ce sont les riverains des aéroports parisiens ( = les personnes qui vivent près de ces aéroports). Ils ont pu profiter de leur jardin sans entendre le bruit des avions !

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire